« La fièvre » : d’un dérapage à la guerre civile ?

La fièvre : Et si la guerre civile ne tenait qu’à un dérapage  ?

Dans cette création, Fodé Thiam, incarné par Alassane Diong, star d’un club fictif du Racing Paris assène un coup de tête à son entraineur lors de la soirée des récompenses de fin d’année du championnat de football. Un geste violent, suivi d’une insulte raciste.

A ce moment-là, un piège infernal se referme sur le joueur et son club qui se retrouvent dans un tourbillon médiatique et politique brûlant. C’est toute la France enfiévrée qui menace de bruler.

Avec l’espoir d’apaiser les tensions, le footballeur et son club font appel à une agence spécialisée en communication de crise.

Débarque alors Sam Berger, jouée par Nina Meurisse. Elle est persuadée que la société française s’apprête à essuyer une crise majeure. Elle tient d’ailleurs pour responsable son ancienne associée, Marie Kinsky portée par Ana Girardot, reconvertie dans le stand-up d’extrême droite. Cette humoriste engagée profite du scandale du coup de tête pour cliver le pays et le rapprocher dangereusement la guerre civile.

Avec « La Fièvre », Eric Benzekri à qui on doit la série « Baron Noir » qui traitait des coulisses de la politique française, dépeint la propagation et l’amplification d’une crise.

A découvrir sur CANAL + en six épisodes.

LE MORNING