Le grand maître de la renaissance Léonard de Vinci à l'honneur Radio Monaco
Le Florentin maîtrisait une large palette artistique de la peinture à la sculpture en passant par l’écriture et la musique.
Sa curiosité insatiable l’a poussé à étudier l’astronomie, l’anatomie et à vouloir décrypter les secrets célestes. C’est à cet homme passionné et à son esprit visionnaire que l’Américain Jim Capobianco (qui n’est autre que le scénariste du Roi lion) et le Français Pierre Luc Granjon ont choisi de rendre hommage avec leur film d’animation Léo ou la fabuleuse histoire de Léonard de Vinci.
Les deux réalisateurs nous embarquent au 16eme siècle, en 1516, avec un Léaonard de Vinci qui ne trouve pas sa place à Rome. Le Toscan a du mal à supporter la concurrence de la jeune génération et n’a pas envie de fabriquer des machines pour divertir et servir les puissants.
Lui, ce qui l’anime, ce sont les secrets du ciel et les mystères de l’âme. Privé de mécène en Italie, il accepte l’invitation du roi François 1er et s’établit en France, au Clos Lucé, à Amboise dans le Val de Loire. C’est là que le père de la Joconde passe les trois dernières années de sa vie.
D’un point de vue technique, le long métrage s’attache à explorer ses 1001 vies en combinant différents styles d’animation comme le dessin animé en 2D et l’animation en volume, sublimés par des dessins aux teintes pastel. On retrouve l’ultra moderne Marguerite de Navarres dans ce film d’animation, la sœur du roi François 1er et grande protectrice de Léonard de Vinci.
LEO ou la fabuleuse histoire de Léonard de Vinci dans les salles obscures