Et si vous démarriez un accompagnement quand vous allez bien ? Radio Monaco
On a tendance à attendre le dernier moment pour se faire aider. Et si nous nous rapprochions d’un thérapeute ou d’un coach lorsque tout va bien ? Quels seraient les bénéfices de cette démarche ? Réponse avec Lynda Pausé.
Un accompagnement plus doux
Généralement, on entame un accompagnement quand on est en phase de déclin ou de marasme (cf Roue d’Hudson). Très peu de personnes choisissent un accompagnement quand ça va plutôt bien. Et pourtant, c’est un moment idéal pour partir à la découverte de soi. On jouit à cet instant de bonnes dispositions émotionnelles et psychiques. Résultat : l’accompagnement se fait avec plus de douceur et moins de souffrance. Evidemment, il s’agira quand même d’aller débloquer des parts d’ombre et de se libérer de blessures émotionnelles ou encore croyances limitantes.
Tout l’objectif du coach ou du thérapeute est d’aller mettre en lumière les techniques de sabotage et d’offrir des outils concrets pour les contourner.
Réaliser un accompagnement quand tout va bien pour avancer
C’est aussi l’occasion de préparer la phase plateau, celle où l’ennui s’installe. Pourquoi pas travailler aussi sur la motivation, le mindset et la gestion du temps. Ou encore apprendre à équilibrer les domaines de vie pour cultiver son écologie personnelle et surtout garder la notion de plaisir.
Lynda le rappelle c’est aussi une belle façon d’oser sortir de sa zone de confort, tout en débloquant ses peurs et ses croyances.