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Deelighted du 16/10/2023
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Le brossage à sec : idéal pour la détox printannière Giulia Testaverde
Ça n’a duré que quelques secondes mais c’est bien assez pour affoler les observateurs des marchés financiers: Apple a franchi pour la première fois les 3 000 milliards de dollars de capitalisation boursière. Jamais aucune entreprise n’avait franchi ce seuil symbolique. Cela dit, ce n’est pas vraiment surprenant que la marque à la pomme atteigne le firmament de la bourse de New-York.
En effet, en août 2018, 38 ans après son entrée en bourse, le géant de Cupertino avait déjà été le premier à passer le cap des 1 000 milliards de dollars, et dès 2020 il doublait cette capitalisation. La valorisation d’Apple augmente donc de plus en plus vite puisqu’il a fallu à peine 16 mois pour passer de 2 000 milliards à 3 000 milliards de dollars.
Les performances boursières impressionnantes du groupe ont été enregistrées en dépit des difficultés rencontrées en 2021. Comme tous les acteurs de la tech, Apple a été confronté à la pénurie de silicone, un composant essentiel pour fabriquer les puces électroniques. Le Covid-19 a lui perturbé le rythme de travail dans les usines asiatiques de la marque américaine.
Ces contre-temps ont engendré 6 milliards de dollars de pertes au niveau des ventes. Pas grand chose au final, comparé aux chiffres astronomiques qu’affiche l’entreprise, loin devant ses poursuivants directs: Microsoft, Google et Amazon.
Alors, comment expliquer la forme insolente de la marque à la pomme ? D’abord, les ventes de l’iPhone n’en finissent pas de booster les revenus d’Apple: pour l’exercice 2020-2021, le smartphone imaginé par Steve Jobs a généré près de 191 milliards de dollars de chiffre d’affaires. Ensuite, il faut y ajouter les revenus liés au matériel informatique, et ceux générés par les services comme iCloud, Apple Music et l’Apple TV qui pèsent également très lourd. Et ce n’est pas fini.
Dans les prochaines années, la firme de Cupertino devrait trouver de nouveaux leviers de croissance, notamment via des investissements massifs dans le « métavers », le monde virtuel sur lequel mise également Meta et Mark Zuckerberg.
Écrit par: Nathalie Michet
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